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Séjours 2025

  • solveigmorch
  • 19 janv.
  • 19 min de lecture

Dernière mise à jour : il y a 3 jours

  • Raquettes à la Colle St Michel 12 et 13 fevrier

  • Raquettes à Cervières 10 au 13 mars

  • La Ciotat du 1 au 3 avril

  • La Drôme du 5 au 8 mai

  • La Lozère (Bagnols les Bains) du 11 au 17 mai

  • Les balcons du Valromey du 23 au 28 juin

  • Le Vieux Chaillol 8 et 9 juillet

  • Le tour des Fiz du 1er au 5 septembre

  • Le Haut Languedoc du 12 au 19 septembre

  • Les Abruzzes du 21 au 28 septembre

  • Dans le Beaujolais du 17 au 21 octobre

Bagnols les bains (Lozère)

du 11 mai au 17 mai

Groupe de 19 personnes

Séjour organisé par Claude N.   

   

On  sait que tu viens de Lozère quand....           

Tu t'extasies devant un feu tricolore                           

Tu trouves bizarre de devoir payer l'autoroute car pour toi l'autoroute c'est gratuit                          Pour toi Chirac et Pompidou sont des villages et pas des anciens présidents                  

Vive la Lozère, je reviendrais c 'est sûr. 

Le département de la Lozère  est resté sauvage et préservé de l'urbanisation galopante.

Sa géographie y est pour beaucoup.Une altitude moyenne autour des 1000 m avec des dénivelés conséquents ont permis la conservation de paysages grandioses.

Chaque territoire  est différent pour le plus grand plaisir de nos yeux.

Au détour de nos randonnées nos yeux marquent une pause sur un château perché, sur un sommet, une chapelle figée en haut d'un coteau ou un joli village au fond d' une étroite vallée.

C'est souvent au gré des randonnées que l'ont fait les plus belles découvertes.

Du petit four à pain aux ruines d'un château, la surprise de trouver de tels vestiges en des endroits si éloignés n'a de cesse de nous étonner.

Une très belle semaine pour les 19 participants de ce séjour. Une très bonne ambiance et beaucoup de joie parmi nous.

Ciel bleu et soleil nous ont accompagnés durant les 7 jours Lozèriens.

Logés dans un bel hôtel géré par Annabelle et Laurent nous étions au centre de tous les départs de randos. Un copieux petit déjeuner nous attendait chaque matin suivi par un casse-croute du même style livré en boite plastique étanche par l'Hôtelier !!! service 4 étoiles !!! En 40 ans de randos jamais vu ça !!! Pour le soir spécialités Lozèriennes et plats bien préparés nous attendaient, et un immense chariot de fromagessssssssssss  nous tendait les bras !!!!!

Les randos étaient belles et sympa dans un décor très sauvage et très ouvert.

Piscine et autres bains nous attendaient en fin d'après-midi pour une totale détente.

Mercredi journée spéciale pour notre Amie Jeanine, 80 ans ont été fêté comme il se doit, Champagne, Gâteaux et autres digestifs .

Remerciement au groupe pour leur délicate attention, Jeanine a été très très touchée.

Ci-dessous le détail des journées. 

Pour info aux gens qui ne connaissent pas la Lozère  les randos sont nombreuses et variées de 100 m à 1200 m de dénivelé dans la journée ... De tous les niveaux et de toutes longueurs, de 3 km à 32 km pour la plus longue.

Ne pas se fier aux idées reçues, la Lozère ne ressemble en rien à un paysage de plaine !!!!!!

Certaines faites tous ensemble ou faites en 2 groupes : André et Claude.

Nous avons pris grand plaisir à découvrir cette région si différente de la nôtre et nous l’avons beaucoup appréciée.

Un Grand Merci  à Laurent et Anabelle pour leur gentillesse. Des Vrais Lozèriens !!!!:

Merci a Luc et Evelyne pour ce samedi passé tous ensemble autour de bonnes choses préparées par de fin cordon bleu !!!

Une journée très sympa entre Lozèriens et Lozèriennes !!!!

A refaire en 2026.....préparez vous.

1 - Lundi 12 mai : Les Clochers deTourmente                                                                                        

Départ : hameau d’OULTET, circuit en boucle, distance 16 km, dénivelé 550 m  fait par André

circuit en boucle distance 24 km et dénivelé 685m fait par Claude                                                    Circuit : Hameau d’Oultet, menhir de la Fergère, croix de Fromentel, hameau d’Auriac, croix du Pêyrou, hameau des Sagnes, à environ 1 km plus loin raccourci sur la gauche avec traversée du ruisseau de Prats souteire sur une jolie passerelle, du ruisseau de Pramajou, hameau de Lozerette, lieu-dit les Quincos, traversée de l’Oultet et retour au départ                                                          

Impressions : Joli circuit empruntant beaucoup de pistes forestières boueuses suite à la pluie du 11 mai. Les plus belles parties : le raccourci entre les Sagnes et Lozerette sur un sentier en sous-bois et la montée vers Oultet en fin de parcours. Aucun autre randonneur sur le parcours ; la plupart des hameaux sont habités par quelques personnes seulement. Rencontre avec les vaches de race Aubrac, énormément de fleurs dont quelques belles espèces d’orchidées, les sagnières et de nombreux ruisseaux, quelques beaux jardins. Peu d’animaux vus mais nombreux chants d’oiseaux tout au long du parcours. Les clochers de tourmente sont une curiosité à ne pas manquer. Tous sont différents, tous ont une sonorité différente destinée à aider à se repérer lorsque les conditions climatiques sont mauvaises, en particulier quand il y a du brouillard et de la neige. Observer les incontournables toits de lauzes encore nombreux partout où l’on passe.

André Maurel

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2 - Mardi 13 mai : Les Sources du Lot  

Départ : collège du Bleymard, circuit en boucle, distance 14 km, dénivelé 290 m fait par  André et claude 

le Bleymard, les Alpiers, les sources du Lot par le PR (hors GR 70 de Stevenson), Lou Feyra pont du Lot, rive gauche du Lot, retour au départ.                                                                                              

Impressions : Aujourd’hui le beau temps et le vent ont permis d’être au sec sur l’ensemble du parcours.  Pistes et routes goudronnées sur la majeure partie du circuit. Belle randonnée passant par le hameau de caractère des Alpiers foulé par l’écrivain Stevenson et l’ânesse Modestine, empruntant ensuite la forêt du Goulet située sur le versant sud de la montagne du même nom. Passage sur de nombreux valats. Un valat est un ruisseau, un torrent ou un vallon encaissé ; ce nom est emprunté au langage cévenol. Les sources du Lot se traversent à pied sec grâce à un passage supérieur en bois qui permet surtout de ne pas détruire la tourbière riche en vies animales et végétales à protéger. Sur le chemin du retour, observation du mont Lozère plein sud du parcours. Après le pont du Lot, traversée sur un sentier très agréable en rive gauche du Lot. De nombreuses barrières, à refermer systématiquement, permettent le passage des randonneurs sur des prairies privées où paissent les vaches. Énormément de fleurs tout au long de la journée. Visite rapide du village du Bleymard avec ses ruelles, son église et une exposition intéressante et permanente de la vie au village tout au long des siècles proposée par le comité départemental de la randonnée de la Lozère (FFRandonnée 48). 

André Maurel

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3 - Mercredi 14 mai : Découverte de Sainte Énimie et de Mende - André et Claude                   

Sainte Énimie, village de caractère à découvrir après la traversée d’une partie des gorges du Tarn et le passage par Quézac, petit village connu grâce à la diffusion de son eau minérale naturellement gazeuse, idéale pour récupérer de la fatigue, se réhydrater après un effort et faciliter la digestion.  Mende, préfecture de la Lozère, est une ville agréable et vivante. Très compacte, la vieille ville se visite très facilement grâce à un circuit historique proposé par l’office de tourisme. Deux lieux incontournables : la cathédrale Notre Dame et Saint Privat, le musée départemental du Gévaudan. Le dernier pape Français Urbain V de 1362 à 1370, Lozérien marque la ville de son empreinte.

André Maurel

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4 - Jeudi 15 mai : Le Mont Lozère par le Col de Finiels                                                                

Départ : depuis le parking des chômeurs (station du mont Lozère), circuit en boucle, distance 14 km, dénivelé 380m fait par André 

circuit en boucle  distance 15 km dénivelé 450m fait par Claude

Circuit : vers le col de Finiels par la draille du Languedoc (GR 7), sentier de découverte du col bas, col de la Draille, sommet de Finiels (mont Lozère), route des chômeurs, retour au point de départ.

Impressions : la montée en pente douce vers le col de Finiels est entrecoupée de nombreux arbres arrachés par les intempéries de mi-avril. Ils entravent peu la progression. Au col un groupe de jeunes randonneurs cherchent leur chemin après avoir raté une balise ; discussion sympathique et reprise de la marche ; peu après des travaux forestiers récents nous font rater une bifurcation à notre tour. Au cours de la recherche en sous-bois épais Joël, notre éclaireur, admire un lapin sauvage puis deux cerfs qui ne s’attardent pas. Chemin retrouvé, nous sortons du couvert et trouvons un vent fort et continue qui oblige à se couvrir au mieux. Il ne nous quittera plus jusqu’au chemin des chômeurs. Nous croisons une vipère péliade répandue sur le mont Lozère alors que le reste du département est fréquenté par la vipère aspic. Chacun suit son itinéraire. Sur le mont Lozère, après le pique-nique dans un abri relatif, observation des différentes tables d’orientation avant d’entamer la progression la plus directe possible vers le chemin des chômeurs ou le vent redevient enfin plus supportable. Arrivée au point de départ où les deux groupes se retrouvent avant d’aller prendre une boisson bien méritée au Bleymard. Beaux paysages, pelouses fleuries, quelques remontées mécaniques vers le col de Finiels sont le lot de la journée

André Maurel.

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5 - Vendredi 16 mai : Lac de Barrandon par le Col de la Loubière                                                       Départ : Depuis le col de la Loubière circuit, pratiquement en aller-retour depuis les Sagnières, dans la forêt domaniale de la Loubière, lac de Barrandon ; distance 16 km, dénivelé 440m           Impressions :  Après une erreur de parcours il est décidé de poursuivre jusqu’au lac plutôt que de se risquer sur des sentiers hypothétiques où la progression risque d’être trop difficile par de nombreux arbres cassés ou arrachés par les intempéries récentes. Pique-nique et détente sur les berges du lac de Barrandon. Parcours essentiellement sur des pistes. Fleurs à profusion et chants d’oiseaux accompagnent la progression du groupe. C’est la dernière randonnée du séjour

André Maurel 

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6 - Samedi 17 mai : départ de Bagnols les Bains pour retour a Sisteron      

7 - Samedi 7 juin : Retrouvailles cher Luc et Evelyne, repas et bonne ambiance.


Rendez-vous à Toutes et Tous en 2026 pour de beaux séjours  en préparation..........


4 jours en étoile dans la Drôme

du 5 au 8 Mai 2025

organisé et animé par Yvette G.

 

Prévisions météo pas top du tout ... Et sur la route, la pluie redouble, une accalmie ? De courte durée. Quand nous arrivons à Saou une pluie fine est toujours là … devrait cesser vers les 11h. Effectivement. Les sommets sont restés bien accrochés pendant 3 jours, néanmoins l'amélioration est allée crescendo. Nous avons adaptés les randos pour éviter le vent et finalement gardé Les 3 Becs pour le dernier jour, magnifique, avec une belle surprise !

Un groupe qui a toujours gardé le sourire et la bonne humeur, des piqueniques agrémentés d'une multitude de douceurs, un excellent accueil de Sabine et Thierry à «La Ferme de Pauroux », des repas de Chef.

Merci à vous, aux chauffeurs, aux reporters photographes qui m'ont envoyé une sélection (important !) pour ces 4 bonnes journées partagées. Bons diaporamas.

 

Lundi 5 Mai : Le Petit Pomerolle (822 m) à partir de Saou

Nous nous équipons et c'est parti pour le Petit Pomerolle, itinéraire assez bien pavé, ensuite nous aviserons. La pluie cesse bientôt, plafond toujours bas. Au cours de la montée dans la belle forêt de Saou, nous sommes relativement protégés du vent, mais au sommet du Petit Pomerolle, c'est la tempête dans la brume ! La belle vue sur Rochecolombe ou sur la vallée du Roubion est à imaginer...

Bien dommage de ne pas poursuivre vers le Grand Pomerolle et la crête jusqu'aux Berches comme prévu, mais ce serait déraisonnable et sans intérêt en l'absence de visibilité.

Nous revenons sur nos pas vers des contrées plus clémentes, même une table pour le piquenique, repérée à l'aller.

Puis petite boucle vers l'Auberge des Dauphins avec son superbe parc aux arbres séculaires, et retour au parking par le sentier parallèle à la route d'accès.

Nous avons parcouru 12 km, dénivelé de 500 m, environ 4h de marche effective ; ibp = 52

Pot de l'amitié dans un sympathique bistrot de Saou, un tour du village avec une curiosité, « La forêt aux chapeaux », des centaines de chapeaux pour tous les goûts fabriqués sur place par une modiste passionnée.

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Mardi 6 Mai : Chapelle de St Maurice (946 m) par les Crêtes, à partir de Dieulefit

Départ du parking des Vitrouillères, direction le camping Hutopia que nous traversons pour y prendre un sentier qui nous mène au carrefour des 4 chemins. Un peu de piste évitée, mais il faut bien la rejoindre dans le ravin de Saléras jusqu'à trouver sur notre gauche « le chemin du cochon ».

Montée par ce petit sentier très sportif, de plus en plus dans la brume, nous arrivons aux Antennes que nous imaginons … La visibilité s'améliore quelque peu au fur et à mesure que nous progressons sur la crête vers l'Est, vers la Chapelle de St Maurice, et Miracle, quand nous y arrivons, la vue est dégagée sur la vallée et même Rochecolombe se distingue au loin !

Un aller-retour à l'entrée de la grotte aux chauve-souris, bien en contrebas de la chapelle, avant la pause piquenique.

La descente se fait par « la montagne », sentier, piste, puis un agréable sentier en balcon au- dessus des barres rocheuses, avec le soleil, au milieu de buis et thym, ça sent bon ! Et les Antennes sont maintenant visibles !

Une petite prolongation dans la forêt de St Maurice avant de rejoindre le carrefour des 4 chemins, puis les voitures.

Pot de l'amitié dans un sympathique bar de Dieulefit.

Nous avons parcouru 14,5 km, dénivelé de 700 m, temps de marche effective : 4h30 ; ibp = 71

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Mercredi 7 Mai : La montagne de la Lance (1340 m) à partir de Roche St Secret, la Chapelle de la Roche 

Départ de la Chapelle de La Roche pour une rando en 8, du ciel bleu à ce niveau. Le GR9 est à 2 pas et nous allons jouer à cache-cache avec lui plusieurs fois dans la journée. Nous le quittons peu après pour un sentier, le retrouvons à l'approche de l'imposant Rocher des Aures et le suivons un moment pour contourner la barre rocheuse par l'ouest (çà descend …). Nous le quittons à nouveau pour un petit sentier qui monte en lacets dans la forêt, passe à l'extrémité Est du Rocher des Aures et arrive à la Ferme de La Lance, haut lieu de la Résistance dans la Drôme, clairière bien cachée au milieu de la forêt.

Après le point de jonction du 8, nous rattrapons le GR vers le sud, d'abord dans la forêt, puis dans les alpages, et la brume s'épaissit au fur et à mesure que nous approchons de la crête. Peu de dénivelé (60 m) pour atteindre le sommet de la crête et le Rocher Garaux, mais 1 bon km, pour pas de vue, alors stop et pause piquenique à l'abri du vent.

Nous rejoignons facilement la crête pour la descente, bientôt la visibilité s'améliore, pistes herbeuses, nous arrivons au point de jonction du 8. C'est par un long sentier que nous rejoignons le GR9, peu en amont de la Chapelle, sous le soleil.

Nous avons parcouru 14 km, dénivelé de 920 m, temps de marche effective : environ 4h30 ; ibp = 86

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Jeudi 8 Mai : Les 3 Becs à partir du col de la Chaudière, retour au hameau des Auberts

Soleil, ciel bleu, sommets dégagés, et la surprise !

Edith, qui nous avait accompagnés à Majorque et dans la Traversée du Grand Paradis, est ravie de nous rejoindre en voisine et le plaisir est vraiment partagé ! Tout au long de la rando,  nous pourrons apprécier sa connaissance des lieux, faune, flore, nature … Merci Edith !

Montée pittoresque au Pas de Siara, avec beaucoup de marches naturelles mais aussi aménagées, un avant goût de la suite pour arriver au sommet du 1er Bec, le Veyou (1589 m). Pause banane bienvenue après cette première ascension. Tout en bas le village de la Chaudière, au loin les Préalpes, mais difficile de repérer des sommets. Proches de nous, la crête du Grand Pomerolle, le Grand Delmas.

Puis une descente, une remontée vers le Signal (1559 m), une nouvelle descente et une nouvelle remontée pour atteindre le 3eme Bec, Rochecourbe (1545 m), avec tout au long un festival de roches, de failles, de becs aux formes plus singulières les unes que les autres.

Piquenique au sommet de Rochecourbe où arrive la voie d'escalade « Les parisiens ». Belle vue sur la vallée de la Drôme.

D'autres découvertes géologiques sur l'itinéraire, en particulier le Rocher de la Laveuse, fenêtre sur Saillans.

Au lieu de revenir au pas de Siara, Edith propose de poursuivre les montagnes russes jusqu'au Pas de la Motte, descendre par le GR jusqu'au hameau des Auberts où son voisin viendra chercher les chauffeurs. Trop gentille !

Superbe randonnée avec des conditions idéales, feu d'artifice pour le dernier jour !

Nous avons parcouru 12 km, D+ de 1130 m, D- de 1510 m, temps de marche effective : environ 4h30 ; ibp = 119

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Mini séjour raquettes à la Colle St Michel

Les 12 et 13 février

Organisé et animé par Frédéric E.

 

Ces deux journées de randonnées raquettes se sont déroulées avec un temps très variable : alternance de brouillard, chute de neige, vent et heureusement quelques éclaircies.

1° jour : Départ en début d'après-midi du parking de la Colle St Michel en direction du Puy de Rent sous une pluie de grésil. Une montée avec une  vue restreinte jusqu'au sommet. En quelques minutes le ciel se dégage et nous dévoile un paysage féerique. Nous allons à la cabane regarder le couché de soleil derrière une barrière de nuages. Le soleil disparu, la température chute brusquement et nous descendons rapidement  pour arriver à la nuit aux voitures.

Nous avons parcouru 8 km avec une dénivelée de 550 m.

2° jour : Nous partons du hameau de Peyresq sans les raquettes au pied. La première partie de la montée du Courradour  se fait sur une neige dure ou absente. Plus tard, nous mettons les raquettes et la deuxième partie de la montée est réalisée avec une visibilité très réduite jusqu'à la croix marquant le sommet  du Courradour. Ensuite nous trouvons une brèche pour pique-niquer dans des conditions hivernales. Pas de sieste, nous redescendons et retrouvons dans la dernière partie le soleil.

Nous avons parcouru 10 km avec une dénivelée de 650 m.

Le lendemain du séjour a été marqué par une Saint Valentin sur le canapé ou au lit pour onze des douze participants. A noter qu'une super woman a résisté au virus.

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Séjour raquettes à Cervières

du 10 au 13 mars

Animé par Gérard K.

 

11 participants

Environnement très enneigé

Un temps correct qui nous a permis de randonner tous les jours

Pour ce séjour en autonomie, nous avons disposé de 3 appartements très confortables (au gîte de l’Etablon à Cervières 220 habitants) qui nous ont permis de profiter de belles soirées sympathiques entre nous.

Merci à tous pour les nombreux plats, desserts, amuse gueules, boissons apportés en plus du gros ravitaillement de base prévu par Mireille. Nous ne sommes pas morts de faim ni de soif durant ce séjour !

J1- La cascade des Oules

Après 2h 30 de route pour rejoindre le hameau du Laus au dessus de Cervières sur la route du col de l’Izoard, nous pique niquons au soleil au départ des pistes de fond. La température est agréable et il est tombé 20 cm de neige fraîche la nuit précédente. Départ de la randonnée devant l’auberge de l’Arpelin (Altitude 1745 m).Montée tranquille dans le vallon du Blétonnet (il faut nous habituer à l’altitude). Chemin faisant, nous croisons plusieurs groupes en ski de randonnée qui redescendent des différents sommets environnants. Après 1h 30 de marche nous arrivons au bout du vallon ; un dernier passage plus raide nous permet d’arriver à la cascade. Petite pause photos avant de redescendre aux voitures avec un ciel qui se couvre de plus en plus. En fin d’après midi, installation dans nos appartements à Cervières

Distance parcourue 8 km  dénivelé 400 m 

J2 - Refuge Napoléon et col de l’Izoard

Il est encore tombé 5 cm de neige fraîche durant la nuit. Départ depuis le hameau du Laus sur la route enneigée du col de l’Izoard  (celle-ci est fermée de mi octobre à mi mai).

Nous croisons de nombreux groupes de marcheurs et de skieurs de fond venus profiter de cette matinée ensoleillée.

La montée sur la route est longue et monotone malgré l’emprunt de quelques raccourcis. Pique nique sur la terrasse du refuge Napoléon (Altitude 2300 m) avec un ciel qui se couvre de plus en plus. A l’intérieur du refuge, beaucoup de monde prennent le repas.

En début d’après midi, pour 5 d’entre nous, montée au col de l’Izoard (altitude 2360 m) sous la neige.

Retour du groupe à Cervières dans l’après midi

Distance parcourue 11 km   dénivelé 625 m

J3 - La bergerie de Peyre Moutte

Nous partons sans les raquettes depuis l’église St Michel en haut du village de Cervières par un sentier peu enneigé qui monte en versant sud.

Après avoir dépassé les ruines de Garnier, la couche de neige devient plus épaisse et le sentier est de plus en plus difficile à repérer d’autant plus que le brouillard envahi le paysage. Plus haut, la couche de neige devient si épaisse que nous avons du mal à avancer. Nous nous enfonçons à chaque pas en regrettant de ne pas avoir emmené les raquettes. Finalement, après moult pataugeages dans la neige, nous arrivons enfin à la bergerie de Peyre Moutte (Altitude 2210 m). Le brouillard se dissipe ce qui nous permet d’apprécier le décor enneigé des sommets environnants tout en savourant notre pique nique.

La poursuite de la randonnée sans les raquettes devenant trop problématique, c’est par l’itinéraire de l’aller que nous rebroussons chemin.

En redescendant, nous apercevons une harde d’une trentaine de chamois venus brouter dans les parties déneigées du versant.

Retour à nos appartements pour déguster un bon verre de vin chaud (merci Yvette).

Repas du soir au restaurant l’Arpelin au Laus. Dégustation de gigot d’agneau cuit au feu de bois

Distance parcourue 8 km dénivelé 630 m

J4 - raquettes dans la vallée des fonts

Il neigeote dès le matin. Nous terminons notre séjour par la découverte de la vallée des Fonts, site privilégié pour la pratique du ski de fond, située tout près de la frontière italienne. La route qui y mène à partir de Cervières est fermée à mi pente. A partir de là, il nous faut monter à pied sur la route enneigée jusqu’au foyer de ski de fond situé à l’entrée de la vallée.

Ce jour là pas mal de monde est monté pour apprécier ce petit coin de paradis en raquettes ou en skis.

Pour notre part, nous nous intéressons à la découverte de plusieurs hameaux d’estive traditionnels et à leurs chalets à l’architecture typique. Les raquettes sont indispensables dès que l’on quitte les parties tracées. Certains d’entre nous en feront très vite l’expérience ! Nous pique niquons à l’abri (relatif) d’une habitation au bas du hameau des Hugues

Le temps se gâte franchement. Il est temps de rentrer. Retour aux voitures où nous nous séparons dans l’après midi

Distance parcourue 9 km  dénivelé 220 m

Merci à tous les participants pour votre endurance et pour votre bonne humeur. Ce fut un réel plaisir de passer ce séjour avec vous

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Séjour à La Ciotat

Du 1 er au 3 avril

Animé par Gérard K.

 

11 participants  

Durant ces 3 journées : temps ensoleillé avec un fort vent d’est sur les endroits exposés

Mardi 1 er avril : Du port de la Madrague de St Cyr à Port d’Alon

Le sentier suit d’abord le bord de l’eau mais l’itinéraire qui a été récemment modifié suite à un éboulement, emprunte une partie raide vers l’intérieur des terres avant de revenir bien plus loin sur le tracé initial au niveau de la baie des nations.

Chemin faisant, on remarque plusieurs poissons d’avril accrochés à des sacs à dos du groupe (1er avril oblige !). En progressant ensuite sur le tracé classique, nous dominons la mer à travers une végétation de pins maritimes et un paysage idyllique de criques et de mer turquoise

Arrivés à la calanque de Port d’Alon (avec sa petite plage de galets), nous entamons notre chemin de retour par l’intérieur des terres et le sentier des vignes (production de vin de Bandol A.O.C.). Au passage, nous croisons l’institution Don Bosco et terminons notre randonnée par la curieuse dune de sable, formée en pleine campagne par accumulation de grains de sable apportés du bord de mer et déposés à cet endroit par les vents dominants

Installation à l’hôtel de la Croix de Malte à La Ciotat

Distance parcourue 12 km  dénivelé  390 m   IBP 46

Mercredi 2 avril : Le sentier des crêtes de Cassis à La Ciotat

Nous laissons les voitures au Pas de la Colle au dessus de Cassis, pour monter sur le sentier des crêtes qui domine la mer de prés de 400 m sur la plus haute falaise maritime de France (Cap Canaille). Le sentier est une succession de montées et de descentes du style « montagnes russes ». Tout le long de la randonnée une vue spectaculaire va s’offrir à nous. D’abord, en contrebas, la ville de Cassis avec ses calanques et au loin vers l’intérieur, le pic de Bertagne et la chaîne de la Ste Baume. Plus loin, coté sud, l’île de Riou, l’île Plate et l’île de Jarre. Au loin, la chaîne des calanques depuis la grande Candelle, le massif du Puget jusqu’à l’île Maïre tout près de Marseille.

La mer est agitée. Aucun voilier en vue.

Bientôt nous apercevons au loin le phare du Planier, haut lieu de plongée sous marine, près duquel s’est échoué autrefois le Chouren.

Nous faisons la connaissance des premières hirondelles de la saison et pique niquons à l’abri du vent dans une petite pinède sympathique. Merci Claude pour ta succulente bouteille de vin de Savoie.

Au sémaphore du Bec de L’Aigle (site militaire occupé qui ne se visite pas), la vue s’étend sur la baie de La Ciotat et ses chantiers navals, le Bec de l’Aigle, l’île verte et au loin le cap Sicié.

Nous descendons jusqu’à la chapelle ND de la Garde, la calanque de Figuerolles, l’anse du Mugel et le port de La Ciotat où nos chauffeurs vont récupérer les voitures en taxi.

Retour et nuit à l’hôtel.

Distance parcourue 12 km   Dénivelé 330 m    IBP 47

Jeudi 3 avril : Calanques de Port Miou, Port Pin et en Vau

Nous quittons l’hôtel pour la presqu’île à Cassis. Beaucoup de difficultés pour trouver le départ du sentier en raison de remaniements récents, itinéraires modifiés, sens interdits…

L’itinéraire de la randonnée suit d’abord la calanque de Port Miou, le long d’une ancienne carrière. La calanque de Port Miou, encaissée entre 2 falaises sur près d’un kilomètre de long, abrite plusieurs centaines de petits bateaux de plaisance.

Passage au trou souffleur, petit trou naturel dans la roche qui, sous l’effet des vagues en contrebas, émet un souffle que l’on entend à plusieurs mètres.

Arrivée à la calanque arborée de Port Pin et de sa petite plage de galets.

Quelques très rares baigneurs.

Tout le long de la journée, nous rencontrerons une multitude de marcheurs, en très grande majorité de 20 à 30 ans d’âge.

Le sentier prend ensuite de l’altitude, s’élève en balcon au dessus de la mer, avant de dominer la calanque d’En Vau au droit d’une échancrure apparemment presque à pic.

Pique nique du groupe à l’ombre de pins, puis descente jusqu’au bas de la calanque pour 6 d’entre nous par le sentier raide, équipé çà et là de marches et de quelques échelons.

Beaucoup de monde sur la plage de  la calanque d’En Vau  (En très grande majorité des jeunes gens). Nous observons un moment des cordées occupées à escalader des parois verticales au milieu d’une cathédrale de calcaire.

Puis nous remontons pour rejoindre le groupe.

Retour à la calanque de Port Pin par un raccourci. Arrivée aux voitures en fin d’après midi/

Rapatriement vers Sisteron. Mireille et Gérard restent sur place pour rejoindre Marseille.

Distance parcourue 10 km   dénivelé 450 m  IBP 54.

 N.B. Il est à remarquer que l’indice d’effort d’une randonnée (IBP) ne prend pas en compte tous les facteurs d’efforts physiques. Dans le cas de notre séjour dans les calanques, la présence presque continue de sol glissant (roches calcaires patinées suite au passage de milliers de randonneurs), le revêtement accidenté des sentiers, le vent qui soufflait presque continuellement ont rendu les randonnées plus difficiles que l’avaient supposé les IBP correspondants.

Merci à tous les participants de ce séjour pour votre entrain, votre bonne humeur et pour votre endurance,  les itinéraires accomplis ayant été parfois plus difficiles qu’annoncés.

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Février 2016

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