Séjours 2025
- solveigmorch
- 19 janv.
- 28 min de lecture
Dernière mise à jour : il y a 6 jours
Raquettes à la Colle St Michel 12 et 13 fevrier
Raquettes à Cervières 10 au 13 mars
La Ciotat du 1 au 3 avril
La Drôme du 5 au 8 mai
La Lozère (Bagnols les Bains) du 11 au 17 mai
Les balcons du Valromey du 23 au 28 juin
Le Vieux Chaillol 8 et 9 juillet
Tête de l'Estrop par le Laverq 6 et 7 août (annulé)
Tour du Brec du Chambeyron 27 et 28 août (annulé)
Le tour des Fiz du 1er au 5 septembre
Le Haut Languedoc du 12 au 19 septembre
Les Abruzzes du 21 au 28 septembre
Dans le Beaujolais du 17 au 21 octobre
Beaujolais, Mâconnais
du 17 au 21 octobre
Organisé et animé par Patrick J
Vendredi 17
7h00 sur le parking de la gare de Sisteron, 18 joyeux lurons s’apprêtent à rejoindre le Beaujolais le temps d’un séjour de quatre jours.
Quelques heures plus tard nous arrivons à proximité de Jullié (69) sur le site du Moulin de la Roche, la météo est fraîche pour pique-niquer mais la bonne humeur est au rendez-vous, le Beaujolais aussi..
Situé au nord du canton de Beaujeu, à la pointe extrême du département du Rhône, le village de Jullié est sans doute un des plus anciens du Beaujolais. Certains prétendent que son nom a été choisi pour honorer l’empereur Jules César.
La randonnée de l’après-midi nous a permis de découvrir les vignobles du cru Julienas, la Chapelle de Vâtre (visible de l'extérieur), le château de la Roche du XVIIème siècle (visible de l'extérieur).
A l’issue de la randonnée direction les gîtes de la Fontaine à Jullié, notre hébergement.
Nous avons parcouru 6,7 km pour un D+ de 240m.
Samedi 18
9h00 à La Grange du Bois (71), le ciel est couvert, voilé.
Une belle balade nous attend au milieu des vignes dorées du Maconnais avec l'ascension de la "Roche de Solutré", la visite de la maison du Grand Site de Solutré et l’ascension de la "Roche de Vergisson"
À la Maison du Grand Site, le centre d’interprétation nous offre toutes les explications sur l’exceptionnel paysage qui l’entoure, géologie, préhistoire…
Au sommet de la Roche de Solutré, une vue panoramique à couper le souffle sur les environs s’offre à nous. Petite pause et Il est temps de descendre en direction du village de Vergisson.
Le soleil est de retour à notre arrivée au village où nous prenons le temps de nous sustenter avant l’ascension de la Roche de Vergisson.
Au sommet de la Roche de Vergisson, le point de vue sur le Grand Site Solutré Pouilly Vergisson, sur une partie de la vallée du Beaujolais, sur le village de Vergisson en contrebas, entouré de vignes, et la roche de Solutré au loin est remarquable.
Le retour à la Grange du Bois se fera sur un chemin en sous-bois sur une crête, quelque peu reposant….
Nous avons parcouru 14,7 km pour un D+ de 604m.
Dimanche 19
8h00, le jour se lève sur Jullié, la météo s’annonce clémente, il est temps de partir pour participer à la Marche des Cadoles organisée par l’Association « Chemins et Racines » autour de Villié Morgon. Trois circuits au départ de la salle des fêtes nous sont proposés 8,12 et 20 km, nous optons pour le 20 km et ses 5 ravitaillements.
Départ de Villié Morgon vers 9h15, au cours de cette balade au cœur des vignes, nous avons pu découvrir la diversité des paysages, observer les différents villages du Beaujolais (Morgon, Fleurie, Régnié…), déguster les différents climats du Cru Morgon (les Charmes, Corcelette, Côte du Py, Douby Grand Cras et Micouds), apprécier l’initiation aux arts du cirque à la cadole du Cœur : équilibre sur un ballon, assiettes chinoises, bâton du diable, diabolo, massues…pas facile !!! profiter des ravitaillements, apprécier la gentillesse des bénévoles.
Vers 18h retour à Villié Morgon, tout le monde en avait plein les jambes !!!!
Petit salade de fruits à l’arrivée, un dernier verre de Beaujolais, il est temps de remercier tous les bénévoles de « Chemins et Racines » et de rejoindre Jullié pour recharger les batteries….
Nous avons parcouru 22,4 km pour un D+ de 535m.
Lundi 20
C’était prévu ! il pleut sur le Beaujolais, alors plan B !
Direction le gîte du Tonnelier à Morgon où Annie, Œnologue, nous accueille dans son gîte rural mitoyen à sa maison, en compagnie de sa sœur Michèle, pour une dégustation de vins du Beaujolais
Puis direction le Domaine des Saveurs « Les Planons » en Bresse. Implanté sur un ancien domaine agricole, il comprend un musée, une ferme bressanne classée monument historique en 1938 (la reconstitution intérieure de la maison d’habitation transporte le visiteur en 1784 dans la vie d’une famille paysanne).
L’après-midi se termine dans la joie au volant de vélo rosalies pour certaines, jeu de quille, jeu de l’oie bressans…..
Mardi 21
Il est temps de quitter Jullié, merci à Sylvie et Franck gérants des gîtes de la Fontaines pour leur accueil, leur disponibilité, leur gentillesse et les repas faits maison.
Avant de rejoindre Sisteron, petit arrêt à proximité de Belleville en Beaujolais chez Bobosse, charcuterie artisanale réputée pour ses spécialités lyonnaises.
Merci à Annie et Michèle du gîte du Tonnelier à Morgon pour leur accueil.
Merci à vous tous pour l’ambiance, votre bonne humeur, content de vous avoir fait découvrir un peu de notre ancienne région que nous aimons Christine et moi, de vous avoir fait rencontrer nos amis randonneurs et comme disent les lyonnais : il y a trois fleuves qui traversent Lyon, le Rhône, la Saône et le Beaujolais…
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Tour des Fiz
du 1er au 5 septembre
Organisé et animé par Daniel A.
12 participants pour cette itinérance en Haute Savoie
La météo s’annonçait vraiment médiocre mais on ne s’en est pas trop mal sorti avec des plafonds bas mais 1 seul jour de petite pluie et surtout un temps magnifique pour la journée la plus longue, la plus dure et celle qui offrait les plus belles vues sur le massif du Mont Blanc.
Une belle ambiance, une belle solidarité et un grand bravo aux participants de ce séjour pas si facile que ça !
Jour 1 : Sixt le Lignon – refuge de Sales
2h15, 730m de dénivelée, environ 5,8km, IBP 78
Très couvert mais pas de pluie.
C’est la journée des cascades : la Pleureuse, la Sauffaz, de Sales et de Trainant.
Le bonjour aux marmottes et nous voilà aux chalets d’alpage de Sales.
On reste au chaud pendant qu’il pleut.
Jour 2 : refuge de Sales – refuge de Platé
5h, 720m de dénivelée, 12km environ, IBP 78
Journée maussade, le plafond est bas et on prend un peu la pluie ; on oublie donc l’option prévue.
Rencontre avec 2 patous.
On traverse le désert de Platé, l’un des plus grands lapiaz d’Europe, par le col de Platé, les Grandes Platières et le col du Colonney, avant de redescendre sur le refuge et ses bouquetins.
Pas d’eau dans ce petit refuge mais un accueil chaleureux.
Jour 3 : refuge de Platé – refuge Moëde-Anterne
7h, 1000m de dénivelée, environ 15km, IBP 104
Une journée assez longue, plutôt dure mais magnifique avec des vues permanentes sur le massif du Mt Blanc, depuis les dômes de Miage jusqu’à l’Aiguille Verte et de l’autre côté sur les falaises des Fiz.
On quitte le refuge par une longue descente, impressionnante et bien raide, pour gagner le plateau d’Assy. Montée tranquille par Plaine Joux, les chalets d’Ayères puis un peu plus bas, les chalets du Souay. Après la passerelle, c’est une longue montée qui nous attend avec ses nombreuses échelles et ses passages câblés. On arrive au lac de Pormenaz avec ses marmottes. Le refuge n’est plus très loin.
Jour 4 : refuge Moëde-Anterne – refuge des Fonts
4h15, 380m de dénivelée, 11km environ, IBP 78
Nouvelle journée maussade et donc pas d’option.
Montée au col d’Anterne dominé par les falaises. Après le lac d’Anterne, petite remontée et traversée jusqu’au Petit col d’Anterne (marmottes). Une bonne descente nous amène aux chalets des Fonts et à son refuge. On y sera pour midi. Jeux d’intérieur et d’extérieur entre 2 averses. Très bel accueil dans ce petit refuge ! Le nouveau est en construction et ouvrira en 2026 pour le centenaire
Jour 5 : refuge des Fonts – Sixt le Lignon
1h30, 180m de dénivelée, 5km, IBP 35
Une formalité ! Descente par la piste puis un petit sentier et remontée en coupant les nombreux lacets de la route
Les voitures nous emmènent au Cirque du Fer à Cheval d’où l’on partira sans sac pour le Fond de la Combe : un festival de cascades !
2h30, 120m de dénivelée
On termine ce séjour, en beauté et avec le soleil, au restaurant du Fer à Cheval dont la qualité est appréciée par tous.
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Le Vieux Chaillol
par le refuge du Tourond
Les 8 et 9 juillet
Organisé et animé par frédéric E.
1° jour : Départ l'après-midi du hameau "Les Fermons" situé à environ 1330 m vers le refuge du Tourond . Une montée sur un sentier ombragé surplombant le Torrent du Tourond. En une grosse heure, on arrive au refuge du Tourond (1712m). Après la pause des sacs dans les chambres, nous sommes allés jusqu'au pied de la cascade de la Pisse.
Nous avons parcouru 6 km avec une dénivelée de 450 m.
2° jour : C’est parti pour une longue journée, on va suivre la direction du col de Côte Longue (2690m). Après la traversée du torrent de mal Cros alors commence la longue montée vers le col, qui porte bien son nom. Le sentier s’élève dans les alpages et ensuite une zone de pierrier où le chemin est indiqué par des cairns, on atteint ensuite le col par des pentes assez raides. Arrivé au col, le chemin monte tranquillement et va vers le col de Riou Beyrou et la Cabane des Parisiens. Rencontre avec les bouquetins peu farouches autour de la cabane. On aborde donc la partie finale vers le Vieux Chaillol et le décor est complètement minéral. L'ascension s'effectue directement sur le rocher et quelques zones d'éboulis et de névés. Le sommet n'est visible qu'au dernier moment. Enfin la joie d'être au sommet et admirer ce panorama par beau temps. La pause repas se fait au sommet pour nous permettre une bonne récupération avant la descente. Nous redescendons par le même chemin jusqu’au refuge du Tourond où une grosse pause s'impose avant de retourner au hameau Les Fermons.
Nous avons parcouru 20 km avec une dénivelée de 1600 m positive et 1880 m de dénivelée négative
Ces deux journées de randonnées se sont déroulées avec bonne ambiance, malgré les difficultés du deuxième jour. Une grande satisfaction des participants d'être arrivés en haut de ce sommet emblématique du Champsaur
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Bugey
le tour des balcons du Valromey
du 23 au 28 juin 2025
Préparé et animé par Daniel A.
7 participants pour ce séjour : une belle ambiance, la découverte d’une région inconnue de tous, un très bel accueil et de beaux souvenirs.
Une météo très favorable malgré la chaleur du moment mais nous étions très souvent en forêt ; juste une belle averse au moment de partir qui nous a fait rentrer dans les voitures et prendre les capes qui … n’ont pas servi !
On est à l’extrême sud du massif du Jura et le départ se fait de Culoz, au bord du Rhône à 240m d’altitude. On remonte vers le nord jusqu’au plateau du Retord et la dernière étape nous fait traverser le Grand Colombier qui « culmine » à 1534m et où on a pu voir 2 chamois !
Des paysages variés (forêts, prairies), de jolis petits villages, et de nombreuses vues époustouflantes sur le Mont Blanc, les lacs (Bourget, Annecy, Léman) et jusqu’à Belledonne.
Des gîtes variés (chambres d’hôtes, gîte ONF non gardé, auberge, gîte d’étape) où on a pu savourer divers produits locaux et les vins du Bugey.
Quelques tiques, pas sympathiques, sur 3 d’entre nous.
Jour 1, Culoz – Vercosin (Champagne en Valromey)
17,5km, 850m de dénivelée, 6h
Une chaleur très humide mais heureusement, il y a de nombreuses fontaines sur notre route.
La forêt est très moussue ; quelques passages câblés ! Puis on traverse quelques villages, Charaillin, Vaux Morets, Chongnes, Luthézieu.
Quelques curiosités : points de vue sur le bas Bugey puis sur le Grand Colombier, les sources du Groin (2ème résurgence de France après Fontaine de Vaucluse), la fontaine de l’Adoue (et sa chapelle) qui inspira Paul Claudel et les gorges de Turignin.
Pour finir, piscine, spa, pour les amateurs !
Jour 2, Vercosin – gîte de la Lebe
16km, 700m de dénivelée, 5h
Grande boucle vers le sud jusqu’au belvédère de Sérémond. On commence à prendre un peu d’altitude et les grandes gentianes nous accompagnent. On ne croise personne si ce n’est un lièvre qui ne s’est pas attardé !
Le gîte ONF est très bien équipé et le traiteur sera même là à l’heure de la bière. Même repas que la veille (salade de tomates / mozzarella, poulet et gratin dauphinois) accompagné d’un Bordeaux 2013 !
Jour 3, gîte de la Lebe – Ruffieu
17km, 700m de dénivelée, 5h30
On traverse notre galaxie en modèle réduit, à l’observatoire de la Lebe, puis on chemine sur les crêtes. Au col de la Clye, comme l’étape du jour est un peu courte, on rallonge par la ferme Guichard (hélas, le bar est fermé!), le trou de la marmite, la chapelle Notre Dame de Mazière et la Croix du Cornillon (vue sur le plateau de Hauteville). Arrivé au sommet des pistes, belle vue sur le Mont Blanc ! Après le col de la Rochette, on se laisse descendre sur Ruffieu. A l’auberge, c’est « open bar » puisqu’on se sert en canette et en vin ! Accueil très chaleureux !
Jour 4, Ruffieu – Les Plans d’Hotonnes (Les Bergonnes)
21km, 810m de dénivelée, 6h
On prend peu à peu de l’altitude pour gagner le plateau du Retord, par le Petit Village, Chez Pernin. On coupe un peu pour raccourcir cette longue étape ce qui nous vaut de débroussailler un chemin abandonné et une belle montée bien raide sur les feuilles de hêtres ! L’étape du jour se fait aux Plans d’Hotonnes, centre de biathlon.
Jour 5, Les Plans d’Hotonnes – Chalet d’Arvière
19km, 600m de dénivelée, 5h15
On choisit de quitter le GRP (balcons du Valromey) pour le GR9 (GTJ) qu’on rejoint à la Croix des Terments. A Plavanel, belle vue sur le Mont Blanc. On est dans les prairies fleuries, au milieu des vaches. La forêt est toujours aussi belle. On fait un détour par le Golet de la Biche et l’Hergues, petit sommet qui domine le vallon d’Arvière, avant d’atteindre le chalet du même nom. Superbe site entouré de magnifiques érables.
Jour 6, Chalet d’Arvière – Culoz
19,5km, 450m de dénivelée (mais plus de 1300m de descente !), 5h45
Une dernière étape en apothéose ! On quitte la combe d’Arvière non sans admirer le sapin Daubrée, haut de 47m et qui est là depuis 350 ans ! A partir du col de Charbemènes, on peut admirer le Mont Blanc et les sommets jusqu’à Belledonne. L’ascension de la Croix du Colombier se fait par la crête et au sommet, une vue à 360°. Le sommet est de l’autre côté du col, emprunté régulièrement par le tour de France cycliste. Encore un peu de crête, des bergeries (Grange à Masse, Granges Neuves) avant le point de vue du Fenestré et la longue descente sur Culoz.
Une belle aventure de 6 jours : 110km parcourus et un peu plus de 4000m de dénivelée
Bravo et merci à tous !
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Bagnols les bains (Lozère)
du 11 mai au 17 mai
Groupe de 19 personnes
Séjour organisé par Claude N.
On sait que tu viens de Lozère quand....
Tu t'extasies devant un feu tricolore
Tu trouves bizarre de devoir payer l'autoroute car pour toi l'autoroute c'est gratuit Pour toi Chirac et Pompidou sont des villages et pas des anciens présidents
Vive la Lozère, je reviendrais c 'est sûr.
Le département de la Lozère est resté sauvage et préservé de l'urbanisation galopante.
Sa géographie y est pour beaucoup.Une altitude moyenne autour des 1000 m avec des dénivelés conséquents ont permis la conservation de paysages grandioses.
Chaque territoire est différent pour le plus grand plaisir de nos yeux.
Au détour de nos randonnées nos yeux marquent une pause sur un château perché, sur un sommet, une chapelle figée en haut d'un coteau ou un joli village au fond d' une étroite vallée.
C'est souvent au gré des randonnées que l'ont fait les plus belles découvertes.
Du petit four à pain aux ruines d'un château, la surprise de trouver de tels vestiges en des endroits si éloignés n'a de cesse de nous étonner.
Une très belle semaine pour les 19 participants de ce séjour. Une très bonne ambiance et beaucoup de joie parmi nous.
Ciel bleu et soleil nous ont accompagnés durant les 7 jours Lozèriens.
Logés dans un bel hôtel géré par Annabelle et Laurent nous étions au centre de tous les départs de randos. Un copieux petit déjeuner nous attendait chaque matin suivi par un casse-croute du même style livré en boite plastique étanche par l'Hôtelier !!! service 4 étoiles !!! En 40 ans de randos jamais vu ça !!! Pour le soir spécialités Lozèriennes et plats bien préparés nous attendaient, et un immense chariot de fromagessssssssssss nous tendait les bras !!!!!
Les randos étaient belles et sympa dans un décor très sauvage et très ouvert.
Piscine et autres bains nous attendaient en fin d'après-midi pour une totale détente.
Mercredi journée spéciale pour notre Amie Jeanine, 80 ans ont été fêté comme il se doit, Champagne, Gâteaux et autres digestifs .
Remerciement au groupe pour leur délicate attention, Jeanine a été très très touchée.
Ci-dessous le détail des journées.
Pour info aux gens qui ne connaissent pas la Lozère les randos sont nombreuses et variées de 100 m à 1200 m de dénivelé dans la journée ... De tous les niveaux et de toutes longueurs, de 3 km à 32 km pour la plus longue.
Ne pas se fier aux idées reçues, la Lozère ne ressemble en rien à un paysage de plaine !!!!!!
Certaines faites tous ensemble ou faites en 2 groupes : André et Claude.
Nous avons pris grand plaisir à découvrir cette région si différente de la nôtre et nous l’avons beaucoup appréciée.
Un Grand Merci à Laurent et Anabelle pour leur gentillesse. Des Vrais Lozèriens !!!!:
Merci a Luc et Evelyne pour ce samedi passé tous ensemble autour de bonnes choses préparées par de fin cordon bleu !!!
Une journée très sympa entre Lozèriens et Lozèriennes !!!!
A refaire en 2026.....préparez vous.
1 - Lundi 12 mai : Les Clochers deTourmente
Départ : hameau d’OULTET, circuit en boucle, distance 16 km, dénivelé 550 m fait par André
circuit en boucle distance 24 km et dénivelé 685m fait par Claude Circuit : Hameau d’Oultet, menhir de la Fergère, croix de Fromentel, hameau d’Auriac, croix du Pêyrou, hameau des Sagnes, à environ 1 km plus loin raccourci sur la gauche avec traversée du ruisseau de Prats souteire sur une jolie passerelle, du ruisseau de Pramajou, hameau de Lozerette, lieu-dit les Quincos, traversée de l’Oultet et retour au départ
Impressions : Joli circuit empruntant beaucoup de pistes forestières boueuses suite à la pluie du 11 mai. Les plus belles parties : le raccourci entre les Sagnes et Lozerette sur un sentier en sous-bois et la montée vers Oultet en fin de parcours. Aucun autre randonneur sur le parcours ; la plupart des hameaux sont habités par quelques personnes seulement. Rencontre avec les vaches de race Aubrac, énormément de fleurs dont quelques belles espèces d’orchidées, les sagnières et de nombreux ruisseaux, quelques beaux jardins. Peu d’animaux vus mais nombreux chants d’oiseaux tout au long du parcours. Les clochers de tourmente sont une curiosité à ne pas manquer. Tous sont différents, tous ont une sonorité différente destinée à aider à se repérer lorsque les conditions climatiques sont mauvaises, en particulier quand il y a du brouillard et de la neige. Observer les incontournables toits de lauzes encore nombreux partout où l’on passe.
André Maurel
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2 - Mardi 13 mai : Les Sources du Lot
Départ : collège du Bleymard, circuit en boucle, distance 14 km, dénivelé 290 m fait par André et claude
le Bleymard, les Alpiers, les sources du Lot par le PR (hors GR 70 de Stevenson), Lou Feyra pont du Lot, rive gauche du Lot, retour au départ.
Impressions : Aujourd’hui le beau temps et le vent ont permis d’être au sec sur l’ensemble du parcours. Pistes et routes goudronnées sur la majeure partie du circuit. Belle randonnée passant par le hameau de caractère des Alpiers foulé par l’écrivain Stevenson et l’ânesse Modestine, empruntant ensuite la forêt du Goulet située sur le versant sud de la montagne du même nom. Passage sur de nombreux valats. Un valat est un ruisseau, un torrent ou un vallon encaissé ; ce nom est emprunté au langage cévenol. Les sources du Lot se traversent à pied sec grâce à un passage supérieur en bois qui permet surtout de ne pas détruire la tourbière riche en vies animales et végétales à protéger. Sur le chemin du retour, observation du mont Lozère plein sud du parcours. Après le pont du Lot, traversée sur un sentier très agréable en rive gauche du Lot. De nombreuses barrières, à refermer systématiquement, permettent le passage des randonneurs sur des prairies privées où paissent les vaches. Énormément de fleurs tout au long de la journée. Visite rapide du village du Bleymard avec ses ruelles, son église et une exposition intéressante et permanente de la vie au village tout au long des siècles proposée par le comité départemental de la randonnée de la Lozère (FFRandonnée 48).
André Maurel
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3 - Mercredi 14 mai : Découverte de Sainte Énimie et de Mende - André et Claude
Sainte Énimie, village de caractère à découvrir après la traversée d’une partie des gorges du Tarn et le passage par Quézac, petit village connu grâce à la diffusion de son eau minérale naturellement gazeuse, idéale pour récupérer de la fatigue, se réhydrater après un effort et faciliter la digestion. Mende, préfecture de la Lozère, est une ville agréable et vivante. Très compacte, la vieille ville se visite très facilement grâce à un circuit historique proposé par l’office de tourisme. Deux lieux incontournables : la cathédrale Notre Dame et Saint Privat, le musée départemental du Gévaudan. Le dernier pape Français Urbain V de 1362 à 1370, Lozérien marque la ville de son empreinte.
André Maurel
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4 - Jeudi 15 mai : Le Mont Lozère par le Col de Finiels
Départ : depuis le parking des chômeurs (station du mont Lozère), circuit en boucle, distance 14 km, dénivelé 380m fait par André
circuit en boucle distance 15 km dénivelé 450m fait par Claude
Circuit : vers le col de Finiels par la draille du Languedoc (GR 7), sentier de découverte du col bas, col de la Draille, sommet de Finiels (mont Lozère), route des chômeurs, retour au point de départ.
Impressions : la montée en pente douce vers le col de Finiels est entrecoupée de nombreux arbres arrachés par les intempéries de mi-avril. Ils entravent peu la progression. Au col un groupe de jeunes randonneurs cherchent leur chemin après avoir raté une balise ; discussion sympathique et reprise de la marche ; peu après des travaux forestiers récents nous font rater une bifurcation à notre tour. Au cours de la recherche en sous-bois épais Joël, notre éclaireur, admire un lapin sauvage puis deux cerfs qui ne s’attardent pas. Chemin retrouvé, nous sortons du couvert et trouvons un vent fort et continue qui oblige à se couvrir au mieux. Il ne nous quittera plus jusqu’au chemin des chômeurs. Nous croisons une vipère péliade répandue sur le mont Lozère alors que le reste du département est fréquenté par la vipère aspic. Chacun suit son itinéraire. Sur le mont Lozère, après le pique-nique dans un abri relatif, observation des différentes tables d’orientation avant d’entamer la progression la plus directe possible vers le chemin des chômeurs ou le vent redevient enfin plus supportable. Arrivée au point de départ où les deux groupes se retrouvent avant d’aller prendre une boisson bien méritée au Bleymard. Beaux paysages, pelouses fleuries, quelques remontées mécaniques vers le col de Finiels sont le lot de la journée
André Maurel.
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5 - Vendredi 16 mai : Lac de Barrandon par le Col de la Loubière Départ : Depuis le col de la Loubière circuit, pratiquement en aller-retour depuis les Sagnières, dans la forêt domaniale de la Loubière, lac de Barrandon ; distance 16 km, dénivelé 440m Impressions : Après une erreur de parcours il est décidé de poursuivre jusqu’au lac plutôt que de se risquer sur des sentiers hypothétiques où la progression risque d’être trop difficile par de nombreux arbres cassés ou arrachés par les intempéries récentes. Pique-nique et détente sur les berges du lac de Barrandon. Parcours essentiellement sur des pistes. Fleurs à profusion et chants d’oiseaux accompagnent la progression du groupe. C’est la dernière randonnée du séjour
André Maurel
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6 - Samedi 17 mai : départ de Bagnols les Bains pour retour a Sisteron
7 - Samedi 7 juin : Retrouvailles cher Luc et Evelyne, repas et bonne ambiance.
Rendez-vous à Toutes et Tous en 2026 pour de beaux séjours en préparation..........
4 jours en étoile dans la Drôme
du 5 au 8 Mai 2025
organisé et animé par Yvette G.
Prévisions météo pas top du tout ... Et sur la route, la pluie redouble, une accalmie ? De courte durée. Quand nous arrivons à Saou une pluie fine est toujours là … devrait cesser vers les 11h. Effectivement. Les sommets sont restés bien accrochés pendant 3 jours, néanmoins l'amélioration est allée crescendo. Nous avons adaptés les randos pour éviter le vent et finalement gardé Les 3 Becs pour le dernier jour, magnifique, avec une belle surprise !
Un groupe qui a toujours gardé le sourire et la bonne humeur, des piqueniques agrémentés d'une multitude de douceurs, un excellent accueil de Sabine et Thierry à «La Ferme de Pauroux », des repas de Chef.
Merci à vous, aux chauffeurs, aux reporters photographes qui m'ont envoyé une sélection (important !) pour ces 4 bonnes journées partagées. Bons diaporamas.
Lundi 5 Mai : Le Petit Pomerolle (822 m) à partir de Saou
Nous nous équipons et c'est parti pour le Petit Pomerolle, itinéraire assez bien pavé, ensuite nous aviserons. La pluie cesse bientôt, plafond toujours bas. Au cours de la montée dans la belle forêt de Saou, nous sommes relativement protégés du vent, mais au sommet du Petit Pomerolle, c'est la tempête dans la brume ! La belle vue sur Rochecolombe ou sur la vallée du Roubion est à imaginer...
Bien dommage de ne pas poursuivre vers le Grand Pomerolle et la crête jusqu'aux Berches comme prévu, mais ce serait déraisonnable et sans intérêt en l'absence de visibilité.
Nous revenons sur nos pas vers des contrées plus clémentes, même une table pour le piquenique, repérée à l'aller.
Puis petite boucle vers l'Auberge des Dauphins avec son superbe parc aux arbres séculaires, et retour au parking par le sentier parallèle à la route d'accès.
Nous avons parcouru 12 km, dénivelé de 500 m, environ 4h de marche effective ; ibp = 52
Pot de l'amitié dans un sympathique bistrot de Saou, un tour du village avec une curiosité, « La forêt aux chapeaux », des centaines de chapeaux pour tous les goûts fabriqués sur place par une modiste passionnée.
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Mardi 6 Mai : Chapelle de St Maurice (946 m) par les Crêtes, à partir de Dieulefit
Départ du parking des Vitrouillères, direction le camping Hutopia que nous traversons pour y prendre un sentier qui nous mène au carrefour des 4 chemins. Un peu de piste évitée, mais il faut bien la rejoindre dans le ravin de Saléras jusqu'à trouver sur notre gauche « le chemin du cochon ».
Montée par ce petit sentier très sportif, de plus en plus dans la brume, nous arrivons aux Antennes que nous imaginons … La visibilité s'améliore quelque peu au fur et à mesure que nous progressons sur la crête vers l'Est, vers la Chapelle de St Maurice, et Miracle, quand nous y arrivons, la vue est dégagée sur la vallée et même Rochecolombe se distingue au loin !
Un aller-retour à l'entrée de la grotte aux chauve-souris, bien en contrebas de la chapelle, avant la pause piquenique.
La descente se fait par « la montagne », sentier, piste, puis un agréable sentier en balcon au- dessus des barres rocheuses, avec le soleil, au milieu de buis et thym, ça sent bon ! Et les Antennes sont maintenant visibles !
Une petite prolongation dans la forêt de St Maurice avant de rejoindre le carrefour des 4 chemins, puis les voitures.
Pot de l'amitié dans un sympathique bar de Dieulefit.
Nous avons parcouru 14,5 km, dénivelé de 700 m, temps de marche effective : 4h30 ; ibp = 71
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Mercredi 7 Mai : La montagne de la Lance (1340 m) à partir de Roche St Secret, la Chapelle de la Roche
Départ de la Chapelle de La Roche pour une rando en 8, du ciel bleu à ce niveau. Le GR9 est à 2 pas et nous allons jouer à cache-cache avec lui plusieurs fois dans la journée. Nous le quittons peu après pour un sentier, le retrouvons à l'approche de l'imposant Rocher des Aures et le suivons un moment pour contourner la barre rocheuse par l'ouest (çà descend …). Nous le quittons à nouveau pour un petit sentier qui monte en lacets dans la forêt, passe à l'extrémité Est du Rocher des Aures et arrive à la Ferme de La Lance, haut lieu de la Résistance dans la Drôme, clairière bien cachée au milieu de la forêt.
Après le point de jonction du 8, nous rattrapons le GR vers le sud, d'abord dans la forêt, puis dans les alpages, et la brume s'épaissit au fur et à mesure que nous approchons de la crête. Peu de dénivelé (60 m) pour atteindre le sommet de la crête et le Rocher Garaux, mais 1 bon km, pour pas de vue, alors stop et pause piquenique à l'abri du vent.
Nous rejoignons facilement la crête pour la descente, bientôt la visibilité s'améliore, pistes herbeuses, nous arrivons au point de jonction du 8. C'est par un long sentier que nous rejoignons le GR9, peu en amont de la Chapelle, sous le soleil.
Nous avons parcouru 14 km, dénivelé de 920 m, temps de marche effective : environ 4h30 ; ibp = 86
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Jeudi 8 Mai : Les 3 Becs à partir du col de la Chaudière, retour au hameau des Auberts
Soleil, ciel bleu, sommets dégagés, et la surprise !
Edith, qui nous avait accompagnés à Majorque et dans la Traversée du Grand Paradis, est ravie de nous rejoindre en voisine et le plaisir est vraiment partagé ! Tout au long de la rando, nous pourrons apprécier sa connaissance des lieux, faune, flore, nature … Merci Edith !
Montée pittoresque au Pas de Siara, avec beaucoup de marches naturelles mais aussi aménagées, un avant goût de la suite pour arriver au sommet du 1er Bec, le Veyou (1589 m). Pause banane bienvenue après cette première ascension. Tout en bas le village de la Chaudière, au loin les Préalpes, mais difficile de repérer des sommets. Proches de nous, la crête du Grand Pomerolle, le Grand Delmas.
Puis une descente, une remontée vers le Signal (1559 m), une nouvelle descente et une nouvelle remontée pour atteindre le 3eme Bec, Rochecourbe (1545 m), avec tout au long un festival de roches, de failles, de becs aux formes plus singulières les unes que les autres.
Piquenique au sommet de Rochecourbe où arrive la voie d'escalade « Les parisiens ». Belle vue sur la vallée de la Drôme.
D'autres découvertes géologiques sur l'itinéraire, en particulier le Rocher de la Laveuse, fenêtre sur Saillans.
Au lieu de revenir au pas de Siara, Edith propose de poursuivre les montagnes russes jusqu'au Pas de la Motte, descendre par le GR jusqu'au hameau des Auberts où son voisin viendra chercher les chauffeurs. Trop gentille !
Superbe randonnée avec des conditions idéales, feu d'artifice pour le dernier jour !
Nous avons parcouru 12 km, D+ de 1130 m, D- de 1510 m, temps de marche effective : environ 4h30 ; ibp = 119
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Mini séjour raquettes à la Colle St Michel
Les 12 et 13 février
Organisé et animé par Frédéric E.
Ces deux journées de randonnées raquettes se sont déroulées avec un temps très variable : alternance de brouillard, chute de neige, vent et heureusement quelques éclaircies.
1° jour : Départ en début d'après-midi du parking de la Colle St Michel en direction du Puy de Rent sous une pluie de grésil. Une montée avec une vue restreinte jusqu'au sommet. En quelques minutes le ciel se dégage et nous dévoile un paysage féerique. Nous allons à la cabane regarder le couché de soleil derrière une barrière de nuages. Le soleil disparu, la température chute brusquement et nous descendons rapidement pour arriver à la nuit aux voitures.
Nous avons parcouru 8 km avec une dénivelée de 550 m.
2° jour : Nous partons du hameau de Peyresq sans les raquettes au pied. La première partie de la montée du Courradour se fait sur une neige dure ou absente. Plus tard, nous mettons les raquettes et la deuxième partie de la montée est réalisée avec une visibilité très réduite jusqu'à la croix marquant le sommet du Courradour. Ensuite nous trouvons une brèche pour pique-niquer dans des conditions hivernales. Pas de sieste, nous redescendons et retrouvons dans la dernière partie le soleil.
Nous avons parcouru 10 km avec une dénivelée de 650 m.
Le lendemain du séjour a été marqué par une Saint Valentin sur le canapé ou au lit pour onze des douze participants. A noter qu'une super woman a résisté au virus.
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Séjour raquettes à Cervières
du 10 au 13 mars
Animé par Gérard K.
11 participants
Environnement très enneigé
Un temps correct qui nous a permis de randonner tous les jours
Pour ce séjour en autonomie, nous avons disposé de 3 appartements très confortables (au gîte de l’Etablon à Cervières 220 habitants) qui nous ont permis de profiter de belles soirées sympathiques entre nous.
Merci à tous pour les nombreux plats, desserts, amuse gueules, boissons apportés en plus du gros ravitaillement de base prévu par Mireille. Nous ne sommes pas morts de faim ni de soif durant ce séjour !
J1- La cascade des Oules
Après 2h 30 de route pour rejoindre le hameau du Laus au dessus de Cervières sur la route du col de l’Izoard, nous pique niquons au soleil au départ des pistes de fond. La température est agréable et il est tombé 20 cm de neige fraîche la nuit précédente. Départ de la randonnée devant l’auberge de l’Arpelin (Altitude 1745 m).Montée tranquille dans le vallon du Blétonnet (il faut nous habituer à l’altitude). Chemin faisant, nous croisons plusieurs groupes en ski de randonnée qui redescendent des différents sommets environnants. Après 1h 30 de marche nous arrivons au bout du vallon ; un dernier passage plus raide nous permet d’arriver à la cascade. Petite pause photos avant de redescendre aux voitures avec un ciel qui se couvre de plus en plus. En fin d’après midi, installation dans nos appartements à Cervières
Distance parcourue 8 km dénivelé 400 m
J2 - Refuge Napoléon et col de l’Izoard
Il est encore tombé 5 cm de neige fraîche durant la nuit. Départ depuis le hameau du Laus sur la route enneigée du col de l’Izoard (celle-ci est fermée de mi octobre à mi mai).
Nous croisons de nombreux groupes de marcheurs et de skieurs de fond venus profiter de cette matinée ensoleillée.
La montée sur la route est longue et monotone malgré l’emprunt de quelques raccourcis. Pique nique sur la terrasse du refuge Napoléon (Altitude 2300 m) avec un ciel qui se couvre de plus en plus. A l’intérieur du refuge, beaucoup de monde prennent le repas.
En début d’après midi, pour 5 d’entre nous, montée au col de l’Izoard (altitude 2360 m) sous la neige.
Retour du groupe à Cervières dans l’après midi
Distance parcourue 11 km dénivelé 625 m
J3 - La bergerie de Peyre Moutte
Nous partons sans les raquettes depuis l’église St Michel en haut du village de Cervières par un sentier peu enneigé qui monte en versant sud.
Après avoir dépassé les ruines de Garnier, la couche de neige devient plus épaisse et le sentier est de plus en plus difficile à repérer d’autant plus que le brouillard envahi le paysage. Plus haut, la couche de neige devient si épaisse que nous avons du mal à avancer. Nous nous enfonçons à chaque pas en regrettant de ne pas avoir emmené les raquettes. Finalement, après moult pataugeages dans la neige, nous arrivons enfin à la bergerie de Peyre Moutte (Altitude 2210 m). Le brouillard se dissipe ce qui nous permet d’apprécier le décor enneigé des sommets environnants tout en savourant notre pique nique.
La poursuite de la randonnée sans les raquettes devenant trop problématique, c’est par l’itinéraire de l’aller que nous rebroussons chemin.
En redescendant, nous apercevons une harde d’une trentaine de chamois venus brouter dans les parties déneigées du versant.
Retour à nos appartements pour déguster un bon verre de vin chaud (merci Yvette).
Repas du soir au restaurant l’Arpelin au Laus. Dégustation de gigot d’agneau cuit au feu de bois
Distance parcourue 8 km dénivelé 630 m
J4 - raquettes dans la vallée des fonts
Il neigeote dès le matin. Nous terminons notre séjour par la découverte de la vallée des Fonts, site privilégié pour la pratique du ski de fond, située tout près de la frontière italienne. La route qui y mène à partir de Cervières est fermée à mi pente. A partir de là, il nous faut monter à pied sur la route enneigée jusqu’au foyer de ski de fond situé à l’entrée de la vallée.
Ce jour là pas mal de monde est monté pour apprécier ce petit coin de paradis en raquettes ou en skis.
Pour notre part, nous nous intéressons à la découverte de plusieurs hameaux d’estive traditionnels et à leurs chalets à l’architecture typique. Les raquettes sont indispensables dès que l’on quitte les parties tracées. Certains d’entre nous en feront très vite l’expérience ! Nous pique niquons à l’abri (relatif) d’une habitation au bas du hameau des Hugues
Le temps se gâte franchement. Il est temps de rentrer. Retour aux voitures où nous nous séparons dans l’après midi
Distance parcourue 9 km dénivelé 220 m
Merci à tous les participants pour votre endurance et pour votre bonne humeur. Ce fut un réel plaisir de passer ce séjour avec vous
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Séjour à La Ciotat
Du 1 er au 3 avril
Animé par Gérard K.
11 participants
Durant ces 3 journées : temps ensoleillé avec un fort vent d’est sur les endroits exposés
Mardi 1 er avril : Du port de la Madrague de St Cyr à Port d’Alon
Le sentier suit d’abord le bord de l’eau mais l’itinéraire qui a été récemment modifié suite à un éboulement, emprunte une partie raide vers l’intérieur des terres avant de revenir bien plus loin sur le tracé initial au niveau de la baie des nations.
Chemin faisant, on remarque plusieurs poissons d’avril accrochés à des sacs à dos du groupe (1er avril oblige !). En progressant ensuite sur le tracé classique, nous dominons la mer à travers une végétation de pins maritimes et un paysage idyllique de criques et de mer turquoise
Arrivés à la calanque de Port d’Alon (avec sa petite plage de galets), nous entamons notre chemin de retour par l’intérieur des terres et le sentier des vignes (production de vin de Bandol A.O.C.). Au passage, nous croisons l’institution Don Bosco et terminons notre randonnée par la curieuse dune de sable, formée en pleine campagne par accumulation de grains de sable apportés du bord de mer et déposés à cet endroit par les vents dominants
Installation à l’hôtel de la Croix de Malte à La Ciotat
Distance parcourue 12 km dénivelé 390 m IBP 46
Mercredi 2 avril : Le sentier des crêtes de Cassis à La Ciotat
Nous laissons les voitures au Pas de la Colle au dessus de Cassis, pour monter sur le sentier des crêtes qui domine la mer de prés de 400 m sur la plus haute falaise maritime de France (Cap Canaille). Le sentier est une succession de montées et de descentes du style « montagnes russes ». Tout le long de la randonnée une vue spectaculaire va s’offrir à nous. D’abord, en contrebas, la ville de Cassis avec ses calanques et au loin vers l’intérieur, le pic de Bertagne et la chaîne de la Ste Baume. Plus loin, coté sud, l’île de Riou, l’île Plate et l’île de Jarre. Au loin, la chaîne des calanques depuis la grande Candelle, le massif du Puget jusqu’à l’île Maïre tout près de Marseille.
La mer est agitée. Aucun voilier en vue.
Bientôt nous apercevons au loin le phare du Planier, haut lieu de plongée sous marine, près duquel s’est échoué autrefois le Chouren.
Nous faisons la connaissance des premières hirondelles de la saison et pique niquons à l’abri du vent dans une petite pinède sympathique. Merci Claude pour ta succulente bouteille de vin de Savoie.
Au sémaphore du Bec de L’Aigle (site militaire occupé qui ne se visite pas), la vue s’étend sur la baie de La Ciotat et ses chantiers navals, le Bec de l’Aigle, l’île verte et au loin le cap Sicié.
Nous descendons jusqu’à la chapelle ND de la Garde, la calanque de Figuerolles, l’anse du Mugel et le port de La Ciotat où nos chauffeurs vont récupérer les voitures en taxi.
Retour et nuit à l’hôtel.
Distance parcourue 12 km Dénivelé 330 m IBP 47
Jeudi 3 avril : Calanques de Port Miou, Port Pin et en Vau
Nous quittons l’hôtel pour la presqu’île à Cassis. Beaucoup de difficultés pour trouver le départ du sentier en raison de remaniements récents, itinéraires modifiés, sens interdits…
L’itinéraire de la randonnée suit d’abord la calanque de Port Miou, le long d’une ancienne carrière. La calanque de Port Miou, encaissée entre 2 falaises sur près d’un kilomètre de long, abrite plusieurs centaines de petits bateaux de plaisance.
Passage au trou souffleur, petit trou naturel dans la roche qui, sous l’effet des vagues en contrebas, émet un souffle que l’on entend à plusieurs mètres.
Arrivée à la calanque arborée de Port Pin et de sa petite plage de galets.
Quelques très rares baigneurs.
Tout le long de la journée, nous rencontrerons une multitude de marcheurs, en très grande majorité de 20 à 30 ans d’âge.
Le sentier prend ensuite de l’altitude, s’élève en balcon au dessus de la mer, avant de dominer la calanque d’En Vau au droit d’une échancrure apparemment presque à pic.
Pique nique du groupe à l’ombre de pins, puis descente jusqu’au bas de la calanque pour 6 d’entre nous par le sentier raide, équipé çà et là de marches et de quelques échelons.
Beaucoup de monde sur la plage de la calanque d’En Vau (En très grande majorité des jeunes gens). Nous observons un moment des cordées occupées à escalader des parois verticales au milieu d’une cathédrale de calcaire.
Puis nous remontons pour rejoindre le groupe.
Retour à la calanque de Port Pin par un raccourci. Arrivée aux voitures en fin d’après midi/
Rapatriement vers Sisteron. Mireille et Gérard restent sur place pour rejoindre Marseille.
Distance parcourue 10 km dénivelé 450 m IBP 54.
N.B. Il est à remarquer que l’indice d’effort d’une randonnée (IBP) ne prend pas en compte tous les facteurs d’efforts physiques. Dans le cas de notre séjour dans les calanques, la présence presque continue de sol glissant (roches calcaires patinées suite au passage de milliers de randonneurs), le revêtement accidenté des sentiers, le vent qui soufflait presque continuellement ont rendu les randonnées plus difficiles que l’avaient supposé les IBP correspondants.
Merci à tous les participants de ce séjour pour votre entrain, votre bonne humeur et pour votre endurance, les itinéraires accomplis ayant été parfois plus difficiles qu’annoncés.
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